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J'ai un mandat d'ombudsman dans le cadre du régime correctionnel
fédéral. Je crois fermement que les Canadiens trouvent très important qu'une surveillance
soit exercée avec sérieux sur les opérations correctionnelles. Ils s'attendent à
ce que le système correctionnel soit juste, équitable, humain, raisonnable et efficace.
Tous les efforts que nous déployons au nom et dans l'intérêt des Canadiens tendent
vers ce résultat stratégique. C'est notre raison d'être.
Dans les dernières années, le Bureau de l'enquêteur correctionnel (BEC) s'est vigoureusement
employé à améliorer ses activités opérationnelles afin d'être en mesure de remplir
son mandat principal avec un maximum d'efficacité. Nous avons considérablement progressé
dans la mise en oeuvre de notre premier Plan général stratégique, et nous avons commencé
à explorer de nouvelles orientations stratégiques. Ce faisant, le BEC se conforme
au nouveau cadre de gestion appelé « Des résultats pour les Canadiens et les Canadiennes
». Il réaffirme ainsi sa volonté de viser l'excellence dans quatre domaines essentiels
au bon fonctionnement d'un organisme du secteur public.
Premièrement, le BEC va se concentrer encore davantage sur son mandat lorsqu'il
conçoit, met en oeuvre ou évalue ses activités, ou quand il fait état des résultats
obtenus.
Deuxièmement, le BEC continuera d'avoir une conduite dictée par un ensemble de valeurs
claires, qui respectent et renforcent l'importance des institutions démocratiques
canadiennes, et il sera guidé par des valeurs déontologiques et professionnelles
optimales.
Suivant le troisième principe, le BEC est tenu d'obtenir des résultats et de les
communiquer aux représentants élus et aux Canadiens et Canadiennes, dans des formes
simples et compréhensibles.
En quatrième lieu, le BEC doit veiller à faire des dépenses judicieuses étant donné
le caractère limité des fonds publics.
Il est indispensable, pour atteindre les objectifs nationaux fixés au sein du système
de justice, que les institutions fédérales soient bien gérées et attentives aux
besoins des citoyens, et qu'elles collaborent étroitement avec les autres ordres
de gouvernement, le secteur privé et le secteur à but non lucratif.
R.L. Stewart
Enquêteur correctionnel
B. Déclaration de la direction
Déclaration de la direction
Je soumets, en vue de son dépôt au Parlement, le Rapport sur les plans et les priorités
de 2003-2004.
Bureau de l'enquêteur correctionnel
Le présent document a été rédigé en conformité avec les principes régissant la production
des rapports et les exigences en matière d'information à fournir, qui sont énoncés
dans les lignes directrices pour la préparation du Rapport sur les plans et les
priorités de 2003-2004.
Il décrit fidèlement les plans et les priorités de l'organisme.
L'information qu'on y trouve sur les dépenses prévues est conforme aux orientations
données dans le budget du ministre des Finances et par le Secrétariat du Conseil
du Trésor.
Il est complet et exact.
Il est fondé sur de bons systèmes d'information et de gestion.
Les membres du Conseil du Trésor ont approuvé la structure de rapport sur laquelle
s'appuie le document et qui sert de fondement à la reddition de comptes sur les
résultats obtenus au moyen des ressources et des pouvoirs reçus.
Nom : ______________________________
Date : ______________________________
Partie II : Raison d'être
Au nom des Canadiens, le Bureau de l'enquêteur correctionnel exerce en temps utile
une surveillance minutieuse et impartiale sur le système correctionnel fédéral afin
de s'assurer que celui-ci reste juste, équitable, humain, raisonnable et efficace.
Partie III : Aperçu de la planification
La majeure partie des fonds dont dispose le BEC provient des sommes accordées pour
les dépenses de fonctionnement, et nous avons le pouvoir de dépenser les recettes
reçues pendant l'année.
La direction continuera de veiller à la mise en oeuvre et à la consolidation du Plan
général stratégique pluriannuel, officiellement adopté en janvier 2002. Durant la
première année, nous nous sommes employés à créer l'infrastructure nécessaire, en
ce qui concerne les ressources humaines, systèmes informatiques et de production
de rapports.
Toutefois, en cette deuxième année du processus de planification stratégique, le
principal défi sera d'appliquer la Structure de planification intégrée au niveau
opérationnel. Les concepts, les méthodes, les rôles et responsabilités, les résultats
escomptés ainsi que les stratégies d'évaluation et de mesure du rendement ont tous
été définis lors de la journée de réflexion sur la planification stratégique tenue
en novembre 2002. Les progrès s'accompliront graduellement et seront directement
liés à l'accroissement de la capacité du personnel du BEC chargé des enquêtes de
recueillir, d'analyser et d'utiliser d'une manière stratégique l'information ayant
trait aux questions individuelles et systémiques signalées à son attention par des
délinquants sous responsabilité fédérale ou en leur nom. Il y aura un certain nombre
d'indicateurs de succès, l'un d'eux, et non le moindre, étant l'affectation en temps
utile des bonnes ressources (dont les ressources humaines et matérielles et l'information)
au bon endroit, pour s'occuper des bonnes questions.
Par conséquent, nous nous pencherons en priorité sur la fréquence de nos visites
dans les établissements, les questions relatives aux femmes purgeant une peine de
ressort fédéral et aux délinquants autochtones, et l'examen des enquêtes menées
aux termes de l'article 19 et des enregistrements vidéo des interventions où il
y a recours à la force. Nous nous préoccuperons également des nouvelles questions
systémiques, comme celles se rapportant aux délinquants âgés et aux jeunes délinquants,
malgré le défi que cela pourrait représenter du point de vue de l'affectation des
ressources.
Enfin, le BEC demeure profondément conscient que sa capacité de fournir des résultats
aux Canadiens est liée au degré d'intensité et à la qualité de sa coopération avec
les autres composantes du système de justice pénale. C'est pourquoi il continuera
de s'efforcer d'entretenir une relation de travail fructueuse avec le Service correctionnel.
En outre, conformément à la nouvelle approche qu'il a adoptée en matière de communications
externes dans le cadre de son Plan général stratégique, le BEC accroîtra sensiblement
ses contacts et sa collaboration avec ses autres partenaires et les intéressés du
secteur correctionnel.
Partie IV : Plans et priorités en fonction du résultat stratégique
A - Sommaire
Résultat stratégique
Services correctionnels responsables, humains, justes et efficaces.
Priorités
Augmenter la fréquence des visites dans les établissements.
Offrir des services spécialisés aux femmes purgeant une peine de ressort fédéral
et aux délinquants autochtones.
Accroître la capacité de faire l'examen et le suivi des enquêtes effectuées en
application de l'article 19 et des enregistrements vidéo des interventions où il
y a recours à la force.
B - Détails
Le principal résultat stratégique visé par le BEC demeure d'assurer aux Canadiens
un organisme de surveillance indépendant qui mène des enquêtes sur les problèmes
des délinquants sous responsabilité fédérale qui sont liés aux décisions, recommandations,
actes ou omissions qui proviennent du Service correctionnel du Canada (SCC). En
outre, selon l'article 19 de la loi qui lui confère ses pouvoirs, soit la Loi sur
le système correctionnel et la mise en liberté sous condition (LSCMLC),
le BEC doit examiner toutes les enquêtes ouvertes par le SCC lorsqu'un détenu décède
ou subit des blessures graves. Le BEC exerce une surveillance similaire sur toutes
les interventions des équipes pénitentiaires d'intervention en cas d'urgence (EPIU),
comme l'a recommandé la commission Arbour.
Le maintien d'un processus de surveillance indépendant et impartial dans un milieu
correctionnel, où le BEC n'a virtuellement aucun contrôle sur le nombre de plaintes
ou l'ampleur des enquêtes requises, présente un certain nombre de défis bien particuliers.
D'abord, pour pouvoir régler des différends dans un environnement qui, traditionnellement,
ne faisait l'objet d'aucun examen public, et où autorités correctionnelles et détenus
éprouvent une vive méfiance compréhensible les uns envers les autres, le BEC doit
non seulement être indépendant du SCC et du Portefeuille ministériel, mais aussi
être perçu comme tel. Ensuite, étant donné que l'autorité du BEC repose sur son
pouvoir de persuasion et le fait que ses rapports soient rendus publics, et non
sur des recommandations exécutoires, il doit absolument exister, aux niveaux administratif
et politique, des mécanismes permettant de s'assurer qu'on donne suite aux constats
du BEC d'une manière juste, équitable, raisonnable et humaine, et sans délai indu.
Ces dernières années, la modification des cadres législatif et réglementaire a obligé
le BEC à étendre considérablement ses services. La commission d'enquête Arbour (1996)
a souligné qu'il importait de continuer de soutenir et de favoriser l'accomplissement
du mandat dont la loi investit le BEC parce que ce dernier se trouve « dans une
situation unique; il peut à la fois faciliter la résolution de problèmes individuels
et faire des déclarations publiques sur les carences systémiques du Service ».
En 1997, le vérificateur général a signalé que l'une des difficultés devant lesquelles
se trouvait le BEC à cette époque était son important volume de travail. Depuis
lors, le BEC a appliqué les recommandations formulées par le vérificateur général
pour l'aider à gérer sa charge de travail, qui étaient notamment de joindre ses
efforts à ceux du SCC pour améliorer le processus de règlement des griefs des détenus
et de fournir aux enquêteurs un meilleur manuel de politiques et de procédures.
Le vérificateur général a également mentionné, toutefois, que la demande de services
demeure grande et incessante; non seulement le volume de travail n'arrête pas de
croître, mais les questions à traiter sont de plus en plus complexes.
En 2000, le sous-comité sur la Loi sur le système correctionnel et la mise en liberté
sous condition du Comité permanent de la justice et des droits de la personne
a recommandé d'accroître le budget du BEC « de manière à augmenter le personnel
d'enquête et assurer que l'Enquêteur correctionnel puisse financer les dépenses
directement reliées à une augmentation de son personnel enquêteur - tels le matériel
de bureau, les communications et les déplacements nécessaires pour procéder aux
enquêtes ».
Le BEC ne prévoit pas que la demande globale de services diminuera, ni que les questions
qui lui sont soumises deviendront moins complexes. L'environnement dans lequel le
BEC est appelé à fournir des « résultats aux Canadiens et aux Canadiennes » continue
d'être très exigeant et de l'obliger à se montrer novateur et très consciencieux
dans la prestation des services.
Pour bien s'acquitter de sa tâche dans ce contexte, le BEC s'est fixé trois objectifs
prioritaires qu'il s'emploiera à réaliser durant les trois premières années du plan
stratégique. Les voici :
Augmenter sa capacité de visiter des établissements à un niveau qui convient à la
population carcérale et aux Canadiens.
Créer des postes de spécialiste pour s'occuper des questions touchant les femmes
purgeant une peine de ressort fédéral (FPPF) et les délinquants autochtones.
Accroître sa capacité de faire l'examen et le suivi des enquêtes, aux termes de
l'article 19 de la Loi sur le système correctionnel et la mise en liberté sous condition,
ainsi que des enregistrements vidéo des interventions où il y a recours
à la force, conformément aux recommandations de la commission Arbour.
En ce moment, à l'étape exploratoire, et selon la disponibilité de ressources supplémentaires,
il y a deux autres activités prioritaires :
Offrir des services spécialisés aux jeunes délinquants incarcérés dans des pénitenciers
fédéraux.
Offrir des services spécialisés aux délinquants âgés (dont la proportion au sein
de la population carcérale sous responsabilité fédérale, qui est actuellement autour
de 16 %, va croissant).
Le modèle logique présenté ci-après indique comment le BEC envisage de fournir les
services nécessaires pour favoriser l'accomplissement de son mandat et remplir son
engagement d'atteindre le résultat stratégique consistant en des services correctionnels
responsables, humains, justes et efficaces.
Le modèle logique montre la relation qui existe entre les activités du programme
du BEC et l'obtention des résultats visés. Il précise les activités qui forment
le programme du BEC et la série de résultats escomptés de ces activités. C'est un
outil pouvant servir à de multiples usages :
mettre en évidence pour les gestionnaires et les employés du BEC les liens entre
les activités du programme, ses extrants et les résultats escomptés. Cela permet
de clarifier les résultats immédiats, intermédiaires et finaux ainsi que d'établir
une distinction entre eux;
faire connaître à l'extérieur la raison d'être du programme, les activités qu'il
comprend et les résultats attendus;
permettre à toutes les composantes du programme de prendre des décisions éclairées
concernant la répartition des ressources et l'orientation des efforts;
vérifier si le programme est logique;
établir la toile de fond sur laquelle sont basées les stratégies d'évaluation et
de mesure du rendement (c.-à-d. déterminer ce qui constituerait un succès).
Figure 4.1 - Modèle logique du BEC
Les élus et la population canadienne portent un intérêt légitime à la manière dont
le BEC a précédemment utilisé ses ressources, et à la façon dont il entend le faire
pour répondre à la demande prévisible au cours des exercices à venir. Ci-après sont
exposés les profils de dépenses, qui correspondent aux principales activités indiquées
dans le modèle logique du BEC (voir la figure 4.1 ci-dessus).
Les principales fonctions du BEC sont de répondre aux plaintes de détenus découlant
de l'incarcération ainsi que de prévenir et de régler des questions plus systémiques
qui surviennent périodiquement (p. ex. questions touchant les Autochtones et les
femmes qui purgent une peine de ressort fédéral, enquêtes menées en vertu de l'article
19, recours à la force). Ces deux fonctions comprennent les services de base fournis
par le BEC, et cela se reflète dans le profil des dépenses ci-après.
Par suite du rapport Arbour, des recommandations du vérificateur général et de celles
du sous-comité chargé d'étudier la Loi sur le système correctionnel et la mise en
liberté sous condition, il a été décidé d'affecter, dans les prochaines
années, des ressources supplémentaires pour s'attaquer aux problèmes systémiques
précédemment signalés et aider le BEC à faire face à la demande sans cesse croissante
concernant les services de règlement des plaintes des détenus. Cette décision se
reflète également dans le profil des dépenses ci-dessous.
Figure 4.2
Profil des dépenses par activité (y
compris les ressources affectées à l'intégrité des programmes), pour les exercices
2000-2001 à 2004-2005*
Conformément à son engagement de se concentrer davantage sur son mandat quand il
évalue ses activités et fait état des résultats, le Bureau de l'enquêteur correctionnel
a inclus des stratégies d'évaluation et de production de rapports dans le Plan général
stratégique qu'il vient d'adopter.
La stratégie d'évaluation prévoit un examen périodique approfondi du rendement du
programme du BEC. L'objectif premier est d'effectuer des améliorations pour faciliter
l'atteinte des résultats ou de déterminer dans quelle mesure le programme mène à
l'obtention des résultats souhaités (c.-à-d. attribution).
Ainsi, pour chaque politique, programme ou initiative, le BEC prend en considération
un ensemble de principaux éléments à évaluer (c.-à-d. pertinence, succès et rentabilité).
Évaluer la pertinence, ce peut être se demander si le programme du BEC est ce qui
répond le mieux au besoin en question. Le succès est mesuré d'après les résultats
obtenus en regard de la série de résultats visés dans le modèle logique. Pour évaluer
la rentabilité, on examine le rendement fourni (extrants et résultats) par rapport
aux ressources dépensées.
Les questions relatives à l'exécution du programme du BEC sont également considérées
comme des éléments à évaluer. Le BEC compare la manière dont son programme est mis
en oeuvre et la façon dont il était censé l'être au départ. Au nombre des aspects
évalués figurent les extrants et la portée du programme (par exemple, la mesure
dans laquelle le programme rejoint les détenus sous responsabilité fédérale). L'efficacité
de la stratégie de mesure du rendement est en soi un point à évaluer.
Le BEC s'intéresse également aux résultats inattendus - positifs ou négatifs - de
son programme.
Pour établir l'ordre de priorité des éléments à évaluer, le BEC détermine quels
aspects sont les plus importants pour lui, et donc requièrent plus d'attention,
en fonction de considérations liées à la gestion du risque. En procédant ainsi,
il s'assure que les paramètres définitifs de l'évaluation permettront de fournir
aux gestionnaires les renseignements clés dont ils ont besoin et qu'ils seront pratiques
à appliquer, au point de vue temps et ressources. Le BEC consigne tous les éléments
d'évaluation envisagés, de sorte que ceux qui auront été considérés mais jugés de
moindre importance auront néanmoins été notés.
Chaque année, le BEC rend compte au Parlement des résultats de l'évaluation continue
de son rendement. En outre, il fait rapport annuellement au Secrétariat du Conseil
du Trésor concernant le respect de ses engagements en matière de production de rapports.
Voici le calendrier de présentation de l'information sur le rendement et des résultats
des évaluations :
Figure 4.3 - Table
Activité de mesure du rendement
Produit
Date des rapports
Mesure du respect de l'engagement concernant la production de rapports
Rapport annuel
Six mois après le début du projet et tous les douze mois par la suite
(c.-à-d. que le deuxième rapport est présenté à la mi-année, entre la première et
la deuxième année)
Mesure continue du rendement
Rapport annuel sur le rendement
Fin de la première année
Fin de la deuxième année
Fin de la troisième année
Fin de la quatrième année
Évaluation formative/à mi-parcours
Rapport d'évaluation formative/à mi-parcours
Troisième année
Évaluation sommative
Rapport d'évaluation sommative
Cinquième année
La stratégie de mesure du rendement sera mise en oeuvre et surveillée par l'enquêteur
correctionnel afin que non seulement elle soit appliquée comme il se doit, mais
qu'elle produise de l'information utile. Des ajustements seront apportés au besoin
aux activités de mesure du rendement de manière à maximiser l'utilité de l'information.
Partie V: Organisation
A. Organigramme
Figure 5.1 - Organisation du BEC
B. Dépenses prévues de l'organisme
Figure 5.2 Dépenses prévues de l'organisme
En ce moment, on prévoit que le coût net du programme du BEC restera stable au cours
des trois prochains exercices. Il pourrait augmenter si le BEC se voyait accorder
les ressources supplémentaires qu'il demande actuellement pour offrir des services
spécialisés aux délinquants âgés et aux jeunes délinquants incarcérés dans des pénitenciers.
(en milliers de dollars)
Prévision des dépenses
2002-2003
Dépenses prévues
2003-2004
Dépenses prévues
2004-2005
Dépenses prévues
2005-2006
Budget principal des dépenses - dépenses budgétaires (brutes)
2 881
2 922
2 922
2 922
Budget principal des dépenses -dépenses non budgétaires (brutes)
2 881
2 922
2 922
2 922
Moins : Recettes disponibles
-
-
-
-
Budget principal des dépenses - total
2 881
2 922
2 922
2 922
Rajustements**
87
-
-
-
Dépenses prévues nettes
2 968
2 922
2 922
2 922
Moins : Recettes non disponibles
-
-
-
-
Plus : Coût des services reçus sans frais
233
256
258
258
Coût net du programme
3 201
3 178
3 180
3 180
Équivalents temps plein
27
27
27
27
* Données correspondant à la meilleure prévision du total des dépenses nettes
jusqu'à la fin de l'exercice.
** Les rajustements servent à tenir compte des approbations obtenues après le
dépôt du Budget principal des dépenses et doivent inclure les initiatives budgétaires
comme un Budget supplémentaire des dépenses, etc.
Partie VI : Annexes
A. Renseignements financiers
Figure 6.1 Coût net du programme pour l'année budgétaire
(en milliers de dollars)
Bureau de
l'enquêteur
correctionnel
Total
2 922
2 922
Plus : Services reçus sans frais Locaux fournis par Travaux publics et Services
gouvernementaux Canada (TPSGC)
233
233
Cotisations aux régimes d'assurance des employés et dépenses payées par le SCT
-
-
Indemnisation des victimes d'accidents du travail par Développement des ressources
humaines Canada
-
-
Traitements et dépenses connexes des services juridiques payés par Justice Canada
-
-
Moins : Recettes non disponibles
-
-
Coût net du programme en 2003-2004 (Total des dépenses prévues)
3 155
3 155
B. Autres renseignements
Lois et règlements
Loi sur le système correctionnel et la mise en liberté sous condition,
partie III